Depuis l’arrivée de Deliveroo, Uber-Eats, et des plateformes de livraison du e-commerce, les Français ont adopté la livraison à domicile avec comme prérogative : une livraison rapide, peu coûteuse et éco-responsable.
D’après une étude de la FEVAD, les ventes sur internet ont atteint près de 30 milliards d’euros au 1er trimestre 2021 et plus de 80% des Français se font livrer leurs colis à domicile ou sur leur lieu de travail.
Pour répondre à l’accélération de ce nouveau mode de consommation, nous assistons à une montée en puissance des acteurs de la livraison. Pour autant, tous sont confrontés à la problématique du « véhicule de livraison » et de ses contraintes.
Problématiques des véhicules dits traditionnels
Ce ne sont autres que les camionnettes et/ou les scooters thermiques qui ont passé leur temps car il nous semble aujourd’hui aberrant de livrer de petits colis dans d’aussi gros engins et sur leur démarché éco-responsable est quasi proche du néant.
Plus sérieusement, ces véhicules semblent de moins en moins adaptés à la livraison urbaine du dernier kilomètre et cela pour de nombreuses raisons.
Dans un premier temps, se pose la question de l’encombrement de la voierie. L’espace urbain est aujourd’hui engorgé en raison d’une population grandissante, corrélée à un nombre de véhicules en perpétuelle croissance.
Ensuite intervient la problématique des nuisances sonores, induites par la densité de la circulation et le bruit des moteurs thermiques. Nous passerons rapidement sur les difficultés de stationnement : un vrai casse-tête pour les livreurs/transporteurs.
Enfin et surtout, la livraison du dernier kilomètre en milieu urbain est très onéreuse : elle représente plus de 20% des frais d’acheminement dans leur totalité. Il est donc important d’en maîtriser les coûts.
N’oublions pas au demeurant que notre société est appelée à adopter des comportements éco-responsables, ce que les acteurs de la livraison doivent prendre en compte dans leur équation.
En résumé, le constat terrain est sans équivoque : la livraison du dernier kilomètre est coûteuse, pèse 20% du trafic, occupe une part importante de la voirie, et est à l’origine d’une émission importante de CO2.
Il faut donc réinventer les véhicules de livraison, des alternatives qui concilient exigences économiques et écologiques, et qui ont à la fois une forte capacité d’adaptation et un caractère innovant.
C’est le pari qu’a fait VelyVelo en proposant des vélos à assistance électrique pensés pour la livraison du dernier kilomètre et des services dédiés à forte valeur ajoutée.
Le vélo, sous toute ses formes (cargo, tricycle, bi-porteur) n’a plus à faire ses preuves :
- En termes de rapidité : en ville, il se révèle efficace pour la livraison de petits colis (18Km/h versus 15km/h pour le scooter ; quant à la voiture, un coursier à vélo est 1.5 voire 2 fois plus rapide).
- En termes de pertinence économique : le coût moyen se voit réduit de 50% par rapport à un scooter thermique et bien plus pour une véhicule utilitaire léger.
- En termes d’image véhiculée vis-à-vis du client final.
La démarche innovante de VelyVelo
VelyVelo a souhaité bouleverser les codes et proposer aux acteurs de la livraison à la fois des véhicules à adapter à leur métier et une série de services pensés pour eux, leur permettant de gérer leur flotte de la manière la plus optimale.
Quels véhicules pour quels types de livraisons
- Les vélos électriques avec sac ou caisson
Grâce à des équipements et des vélos adaptés, les coursiers/livreurs peuvent livrer une panoplie de produits : repas, courses, plis et petits colis.
Seules restrictions : les distances moyennes parcourues et leurs localisations au sein de la ville. Il faudra privilégier les distances de moins de 10km et les localisations très centrales en milieu urbain.
- Les triporteurs ou vélos cargos
Ces vélos ont une plus grande capacité de chargement (jusqu’à 300L) et conservent leur faculté à être rapide puisqu’ils peuvent emprunter les pistes cyclables et autres infrastructures dédiées au vélo. Il est considéré comme l’avenir de la logistique urbaine en agglomération bondée.
- Les tricycles et autres modules tels que les remorques
Ces véhicules peuvent quasiment tout transporter aussi bien en volume qu’en poids. Sont également développés des modules permettant d’augmenter les capacités de transport tels que les remorques à l’arrière.
La cyclo-logistique :
La cyclo-logistique se définit comme l’utilisation de vélos professionnels pour la livraison de marchandises.
Dans un élan de soutien et afin de « favoriser l’accélération des activités de livraison à vélo », le ministère de la transition écologique a présenté un plan national de développement de la cyclo-logistique en France. Celui-ci renforce les mesures existantes et introduit la prime à la conversion et le dispositif « Colis Activ’ » financé par les certificats d’économie d’énergie (CEE).
Le vélo de livraison a ainsi de belles années devant lui.
À propos de VelyVelo :
VelyVelo créée en 2017, est aujourd’hui leader du leasing de vélos à assistance électrique pour les professionnels de la livraison en France, avec plus de 4.000 vélos en circulation en 2021, et est reconnue par ses clients comme l’experte de la gestion de flotte de livraison.
VelyVelo est née d’une réflexion autour du secteur de la restauration puis s’est étendue à la livraison du dernier kilomètre dans la globalité.
La démarche innovante de VelyVelo consiste à proposer des vélos conçus pour la livraison mais également des services tout aussi importants tels que la maintenance, la réparation et la gestion de flotte. La force de VelyVelo est sa capacité à évaluer précisément les besoins de ses clients et d’y apporter des solutions clés en mains.
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